De février à juin, une fois par mois, CHRISTOPHE ALÉVÊQUE livrera sa revue de presse au Théâtre Traversière. Cinq rendez-vous pour une thérapie de groupe improvisée, sans limite, sans structure et sans tabou.
LE PETIT MOT DE FREDERIC HENAUT, DIRECTEUR DU THEATRE TRAVERSIERE…
Pourquoi 5 rendez-vous ?
Je connais Christophe depuis quelques années et j’aime ses prises de position, ses actions politiquement engagées. Dans son spectacle, il attaque bille en tête, il ne se limite pas à la politique (selon lui, ce serait terriblement ennuyeux) et, en digne héritier de Guy Bedos, il n’a pas peur de « mouiller le maillot ». Christophe a été accueilli plusieurs fois au Théâtre Traversière. Un lien très fort s’est tissé avec le public et, après chaque représentation, jamais rassasié, celui-ci me réclamait son retour.
Donc, dès février et une fois par mois jusqu’en juin, il présentera sa fameuse revue de presse ; à chaque fois différente (il prend tout le temps des notes selon l’actualité et finit de les écrire juste avant d’entrer sur scène). Au fil des représentations, ce sera le plaisir de découvrir et de partager ces moments d’humour et d’actualités « revus » par lui et, comme il le dit lui-même : « Je ne suis ni journaliste, ni philosophe, ni un expert. C’est l’info vue par un pitre qui veut avoir une réaction sur le sujet ». Et c’est cela qui me séduit.
Conception, interprétation : Christophe Alévêque
Production : ALACA Production
Environ 1h30
Mardi 14 février 2023 à 20h30
Jeudi 30 mars 2023 à 20h30
Mercredi 12 avril 2023 à 20h30
Mercredi 17 mai 2023 à 20h30
Vendredi 16 juin 2023 à 20h30
« Exutoire face à la folie du monde, thérapie collective pour citoyens déboussolés, le spectacle de Christophe Alévêque, insolent et revigorant, tient sa promesse : on en ressort plus léger que quand on est entré, avec une furieuse envie de se déconnecter de l’info en continu. »
Sandrine Blanchard – Le Monde
« Yeux facétieux, mèche rebelle […], Christophe Alévêque promet de faire un «_tour exhaustif et objectif de l’actualité ». Le public n’en croit pas un mot, ricane. […] Le spectateur ne boude pas son plaisir d’entendre tout haut ce qu’il pense tout bas. »
Nathalie Simon – Le Figaro